Mitsvot

En se lavant les mains au réveil, on se purifie et on commence la journée avec propreté et énergie positive. En se lavant les mains avant de manger du pain, on transforme notre table en un autel et on se prépare comme les Cohanim au Temple. "Vous vous sanctifierez et vous serez saints." (Lévitique 20:7)

Il y a une mitsva de réciter le Shema matin et soir. La déclaration "Shema Yisrael, Adonai Eloheinu, Adonai Ehad" est le cœur de notre foi. Le Shema nous rappelle l’unité d’Hashem et renforce notre identité et engagement juifs. "שְׁמַע יִשְׂרָאֵל ה' אֱלֹקֵינוּ ה' אֶחָד" (Devarim 6:4).

On commence la journée par la prière à Hashem, en se rappelant qu’Il est toujours là, qu’Il nous écoute et nous aime. Shajarit a été instituée par Avraham Avinou et correspond à l’offrande du matin dans le Temple.

En plus de la mitsva de réciter le Shema matin et soir, on a l’habitude de le dire avant de dormir. Cela apporte protection et clôture la journée par des paroles de Torah. On confie notre âme à Hashem en toute confiance. "Je me couche et je m’endors en paix, car toi seul, Éternel, tu me fais habiter en sécurité." (Tehilim 4:9)

Le Talmud enseigne que le but de porter la kipá est de nous rappeler qu’Hashem est l’Autorité Suprême et qu’Il est "au-dessus de nous" (Kidushin 31a). Porter une kipá exprime aussi la fierté d’être juif et nous pousse à un comportement exemplaire qui produit du Kiddouch Hashem ou, à D-ieu ne plaise, du Hiloul Hashem.

Respecter la Halajá dans chaque aspect de la vie renforce notre engagement envers Hashem et notre soumission à Sa volonté, même quand on ne comprend pas tout, on sait que c’est pour notre bien."Tu ne t’écarteras pas de la décision qu’ils te communiqueront, ni à droite ni à gauche." (Devarim 17:11)

Un salut sincère ne se limite pas à la politesse : il sème la paix, la joie et l’unité dans la communauté, accomplissant la mitsva de rechercher la paix à chaque rencontre. "Recherche la paix et poursuis-la." (Tehilim 34:15)

Commencer la journée avec détermination et engagement est une façon d’honorer Hashem, en utilisant les premières heures du jour comme une opportunité d’accomplir notre mission.

La tsédaka – qu’elle soit en argent, en temps ou en ressources – est un pilier de notre Torah et de notre société, nous appelant à partager nos bénédictions avec ceux qui en ont besoin, pour que personne ne soit laissé de côté. "S’il y a chez toi un pauvre… tu n’endurciras pas ton cœur." (Devarim 15:7)

Rendre visite aux malades est un acte d’amour et de compassion, à l’image d’Avraham Avinou qui a toujours montré hospitalité et attention. Cela démontre que nous sommes un peuple uni, dans les moments joyeux comme dans les plus difficiles.

Un petit geste aimable ou des paroles encourageantes peuvent illuminer la journée de quelqu’un. En partageant notre joie, nous apportons lumière, amour et bonheur dans le monde.

La patience est une grande vertu et reflète la force spirituelle. La maîtrise de soi montre la direction de notre vie. Contrôler la colère nous rapproche de la ressemblance d’Hashem, qui est compatissant et miséricordieux. "Celui qui est lent à la colère vaut mieux qu’un héros, et celui qui maîtrise son esprit que celui qui prend une ville." (Proverbes 16:32)

Anticiper les besoins des autres et offrir de l’aide spontanément est la forme la plus pure de bonté – cela peut transformer des vies.

Observer les lois de la kashrut nous garde purs, physiquement et spirituellement. C’est une étape essentielle dans notre engagement envers Hashem, et c’est également bénéfique pour nous.

Fixer une mezouzá sur le montant de la porte transforme la maison en un espace protégé. À chaque entrée ou sortie, elle nous rappelle de garder la Torah à tout moment et partout. "Tu les écriras sur les poteaux de ta maison et sur tes portes." (Devarim 6:9)

Préparer la maison, la nourriture et créer une ambiance spéciale nous aide à profiter pleinement de ce jour saint pour nous connecter à Hashem et à nous-mêmes. "Souviens-toi du jour du Shabbat pour le sanctifier." (Shemot 20:8)

Le mot Kidoush signifie "sanctification" ou "séparation". Le Kidoush est un court texte récité sur une coupe de vin le vendredi soir pour déclarer que Shabbat est un jour saint et distinct. Il contient des versets de la Torah sur la sainteté du Shabbat, la bénédiction sur le vin et une bénédiction à Hashem pour le don du Shabbat. Nous le faisons deux fois : une fois à la prière et une fois avant le repas. "Souviens-toi du jour du Shabbat pour le sanctifier." (Shemot 20:8)

Après le repas, nous remercions Hashem en reconnaissant que c’est Lui qui nous donne la nourriture et toute notre subsistance. "Tu mangeras, tu te rassasieras, et tu béniras l’Éternel, ton Dieu." (Devarim 8:10)

De petits détails, comme un fruit spécial ou un bonbon, enrichissent l’ambiance de Shabbat et nous aident à sanctifier ce jour en lui réservant le meilleur que nous avons.

Le son du shofar ouvre les portes du ciel et de notre cœur. À son écoute, c’est un moment pour demander, remercier et réfléchir. Nous sonnons le shofar pour rappeler l’épreuve d’Avraham qui, prêt à offrir son fils, a finalement sacrifié un bélier à sa place. Le shofar est une corne de bélier ou d’un autre animal cachère. Nous demandons qu’Hashem se souvienne du mérite des patriarches et ait miséricorde envers nous. "Et au jour de votre joie… vous sonnerez des trompettes." (Bamidbar 10:10)

La soucca est une maison temporaire qui nous relie à la manière dont nos ancêtres vivaient dans le désert. À Souccot, nous mangeons, dormons et étudions la Torah dans la soucca, en essayant d’y passer le plus de temps possible. Plus profondément, la soucca symbolise notre vie sur terre : nous sommes ici temporairement, nous devons servir Hashem et être joyeux pendant notre séjour. "Vous habiterez dans des cabanes." (Vayikra 23:42)

La Bat Mitsva marque le moment où une fille de 12 ans devient mature spirituellement, responsable de ses actes et tenue aux mitsvot. C’est un moment très important dans la vie d’une femme juive. Une cérémonie ou fête en l’honneur de la Bat Mitsva motive beaucoup la jeune fille et renforce l’amour du public pour Hashem et la Torah.

Le jeûne est un acte d’introspection, de repentir et parfois de deuil. Il aide à purifier l’âme et à se concentrer sur ce qui est vraiment essentiel.

Encourager et soutenir les endeuillés est une très grande mitsva qui montre la sollicitude, l’amour et l’empathie.

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Nos sages nous ont enseigné que l’un des événements comparables au miracle de la séparation de la mer Rouge lors de la sortie d’Égypte est la capacité de faire ses besoins avec succès. On ne réalise pas toujours tout ce qui doit se produire pour qu’un morceau de nourriture soit digéré correctement par notre corps — absorber les nutriments et éliminer le reste. Par exemple, l’estomac ne fait pas que digérer : il est aussi capable de résister à son propre acide, si puissant (pH 1-2) qu’il peut corroder le métal. Les miracles nécessaires pour que notre corps fonctionne correctement sont innombrables. En récitant la bénédiction de Asher Yatsar, nous remercions Hachem pour un corps si parfaitement conçu et pour le fait qu’il continue de bien fonctionner à tout moment.
(Cette bénédiction, comme toutes les bénédictions, doit être récitée en dehors des toilettes.)

Les Tzitzit sur le vêtement nous rappellent les commandements de Dieu et nous aident à vivre avec intention, sans jamais nous éloigner de Sa volonté. Les hommes portent le Talit Katan quotidiennement, et le Talit Gadol pendant la prière de Shajarit. "Vous le regarderez, et vous vous souviendrez de tous les commandements de l’Éternel." (Bamidbar 15:39)

La prière de Minjá renforce notre lien avec Hashem et nous rappelle qu’Il nous écoute et nous aime toujours. Elle a été instituée par Itshak Avinou et correspond à l’offrande de l’après-midi au Temple.

Hashem est infiniment bon et nous aime. Il nous a donné le libre arbitre, ce qui nous distingue de toutes les autres créatures. Quand on agit mal, cela a des conséquences spirituelles. La seule chose à craindre : c’est nous-mêmes. "Que te demande l’Éternel, ton Dieu, si ce n’est de le craindre ?" (Devarim 10:12)

L’étude de la Torah donne à la personne les clés pour vivre en Juif et accomplir les mitzvot. La Torah est le manuel de la vie. Tu ne donnerais jamais un ordinateur très cher sans explication pour l’utiliser ; Hashem nous a donné la vie avec Son mode d’emploi : la Torah. "Tu le méditeras jour et nuit." (Yehoshua 1:8)

En récitant Mode Ani dès le réveil, on remercie Hashem pour le don de la vie et l’opportunité d’un nouveau jour, en reconnaissant que nous avons un but et qu’Hashem nous fait confiance pour l’accomplir.

Prendre soin de nos paroles est fondamental : la langue peut construire ou détruire. Cette mitsva nous pousse à promouvoir la vérité et la bonté dans chaque échange. Les paroles négatives sont très graves ; une fois prononcées, elles nous lient. "La mort et la vie sont au pouvoir de la langue." (Proverbes 18:21)

Rien n’est acquis. Tout ce que nous avons est un cadeau d’Hashem, ce n’est pas entre nos mains. Reconnaître ne serait-ce qu’une petite partie de Ses innombrables dons nous rend plus heureux et reconnaissants. "הוֹדוּ לַה' כִּי טוֹב" (Tehilim 118:1).

Offrir une aide réelle sans attendre de retour renforce la communauté et favorise l’équité et l’unité, suivant l’idéal de prendre soin de son prochain sans intérêt personnel. "אֶ֨ת־כַּסְפְּךָ֔ לֹֽא־תִתֵּ֥ן ל֖וֹ בְּנֶ֑שֶׁךְ" (Vayikra 25:37).

Restituer un objet perdu ne rend pas seulement un bien à son propriétaire, mais montre notre honnêteté et intégrité dans chaque acte. "Tu les rendras certainement à ton frère." (Devarim 22:1)

Honorer et respecter ceux qui ont accumulé des années et de la sagesse est une mitsva qui maintient notre société sur la bonne voie et préserve la dignité des aînés. "Tu te lèveras devant les cheveux blancs, et tu honoreras la personne du vieillard." (Vayikra 19:32)

Les petits gestes de courtoisie, comme céder sa place, manifestent notre respect et notre amour du prochain, et aident à transmettre de bonnes valeurs autour de nous.

Écouter, accompagner et soutenir ceux qui traversent des moments difficiles peut changer leur vie. L’empathie et la solidarité sont des valeurs à pratiquer pour avoir un impact positif.

En séparant la ‘Hala, nous nous rappelons qu’Hashem nous donne tout, même si nous travaillons dur pour l’obtenir. C’est similaire aux prémices qu’on apportait au Temple pendant les trois fêtes (Souccot, Chavouot et Pessa'h). "Des prémices de votre pâte, vous présenterez une offrande à l’Éternel, de génération en génération." (Bamidbar 15:21)

En récitant la bénédiction de Sheheheyanu, nous exprimons notre gratitude d’avoir atteint un moment spécial, reconnaissons la joie de vivre et apprécions davantage chaque instant.

En allumant les bougies de Shabbat, nous transformons l’ambiance de la semaine et accueillons le Shabbat. C’est une mitsva réalisée par les femmes de la maison (si présentes). C’est un symbole qui sépare le profane du sacré et un moment propice pour prier Hashem pour la santé, la parnassa et d’autres demandes personnelles.

C’est un symbole de la manne qu’Hashem nous envoyait du ciel chaque jour dans le désert. Le sixième jour, nous recevions une double portion car le Shabbat, le septième jour, est un jour où l’on cesse les travaux matériels et on ne cherche pas sa subsistance.

La cérémonie de la Havdala marque la fin du Shabbat, nous aide à distinguer le sacré du profane et à commencer la semaine avec sainteté.

La sagesse d’Hashem est infinie ; en écoutant ou en lisant des paroles de Torah, nous pouvons apprendre des choses qui changent notre vie, notre état spirituel et même notre situation physique.

La lumière de la ‘Hanoukia célèbre le miracle de la réinauguration du Temple et nous rappelle de garder la foi et notre identité même dans les moments les plus difficiles.

Cette mitsva renforce l’unité et l’amour entre nous en tant que peuple. Un mishloach manot ne doit pas être réservé uniquement à nos proches ; c’est aussi une belle occasion de se réconcilier avec quelqu’un avec qui on a eu des différends.

La Brit Mila est l’alliance qu’Hashem a conclue avec notre patriarche Avraham. Tout garçon juif doit porter cette alliance dans sa chair pour être considéré juif. "Voici mon alliance que vous observerez… tout mâle parmi vous sera circoncis." (Bereshit 17:10–11)

Visiter la tombe d’un être cher et réciter des Tehilim est une manière d’honorer sa mémoire et d’élever son âme.

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Dire les berakhot du matin peu après le réveil nous aide à apprécier les cadeaux que nous recevons de Hachem en ce nouveau jour. C’est aussi un excellent moyen de louer Hachem et de rester conscients tout au long de la journée. Chacune des 15 berakhot a une profondeur inimaginable ; mais même si nous ne comprenons pas cette profondeur, nous en saisissons l'idée générale et pouvons progresser en les récitant.

En mettant les Tefilín sur le bras opposé au cœur et sur la tête, nous orientons notre cœur, nos pensées et nos actions vers le service divin. Les hommes juifs les portent chaque matin à Shajarit (sauf le Shabbat et les jours de fête). "Tu les attacheras comme un signe sur ta main, et ils seront comme des fronteaux entre tes yeux." (Devarim 6:8)

Arvit/Maariv clôture la journée par la gratitude, le pardon et un lien avec Hashem. Elle a été instituée par Yaakov Avinou et correspond aux sacrifices brûlés sur l’autel durant la nuit.

Si tu lis ceci, c’est qu’Hashem t’aime – tu es vivant. Combien donneraient tout pour un jour de plus ? Sourire et servir Hashem avec joie peut transformer ta vie. "Servez l’Éternel avec joie." (Tehilim 100:2)

Chaque bénédiction avant ou après un repas reconnaît qu’Hashem est la source de toute abondance. En récitant des berakhot sur la nourriture, nous l’élevons spirituellement et nourrissons aussi notre âme.
"Tu mangeras, tu te rassasieras, et tu béniras l’Éternel, ton Dieu." (Devarim 8:10)

La pratique de la modestie est une marque de respect envers soi-même et envers les autres, nous rappelant que la vraie beauté et la vraie valeur sont intérieures, car nous sommes des âmes avant d’être des corps.

Un acte de bonté quotidien améliore non seulement nos vies et celles des autres, mais élève aussi notre âme, nous rapprochant du but pour lequel nous avons été créés. "Tu aimeras ton prochain comme toi-même." (Vayikra 19:18)

Nous faisons tous partie du monde créé par Hashem ; notre valeur ne dépend pas de nos actes et est inaltérable – elle est inscrite dans notre essence. Nous devons nous traiter avec amour et respect, et remplacer la haine par l’amour. "Tu aimeras ton prochain comme toi-même." (Vayikra 19:18)

Respecter et prendre soin de ceux qui nous ont donné la vie est une obligation de la Torah, qui renforce la famille, nous enseigne l’humilité et nous guide sur le bon chemin en tant que personnes et société. "Honore ton père et ta mère." (Shemot 20:12)

Accueillir des invités chez soi est une expression d’amour et de générosité qui renforce notre unité et notre amour en tant que peuple. Cette mitsva suit l’exemple d’Avraham Avinou (Bereshit 18:2).

Promouvoir la réconciliation et éviter les disputes nous renforcent en tant que peuple, améliorent la vie commune et cultivent l’amour et l’unité entre nous. C’est ainsi que nous restons unis.

Reconnaître et complimenter les autres renforce leur moral et crée une atmosphère positive et des relations saines, essentielles pour une véritable ahavat Israël.

De la même manière qu’on ne mettrait jamais de l’eau ou un mélange douteux dans une voiture de luxe à la place d’un bon carburant, nous devons nourrir notre corps et notre âme de la meilleure manière. Nous le faisons en choisissant des aliments approuvés par la Torah et les rabbanim. Quand nous récitons les bénédictions, nous reconnaissons que toute nourriture vient d’Hashem et nous renouvelons nos forces physiques et spirituelles. "Car je suis l’Éternel, votre Dieu ; sanctifiez-vous donc et soyez saints, car je suis saint." (Vayikra 11:44)

L’immersion dans la mikvé nous purifie et nous prépare à une nouvelle étape de vie avec sainteté. "Il se lavera dans l’eau et sera pur." (Vayikra 14:8)

Utiliser des ustensiles cachères dans notre cuisine et là où nous mangeons renforce notre engagement envers la kashrut et notre volonté d’être purs et de faire la volonté d’Hashem.

Hashem a créé le monde en six jours et s’est "reposé" le septième. A-t-Il besoin de repos ? Nos Sages expliquent que "repos" signifie ici cesser de créer, pas un repos physique. Tous les travaux interdits à Shabbat viennent des actions nécessaires pour construire le Mishkan. Hashem nous a donné le Shabbat pour nous connecter à Lui, à nous-mêmes, et nous détacher du matériel.

Le repas de Shabbat a lieu le vendredi soir. C’est le premier des trois repas obligatoires de Shabbat. Il commence par le Kiddouch (bénédiction sur le vin), la consommation de la 'Hala, puis un repas joyeux et festif.

Ouvrir sa maison pour partager le Shabbat avec d’autres est un acte de générosité qui nous unit ; c’est une grande mitsva.

Faire une don de tsédaka avant Shabbat prépare l’ambiance pour accueillir le jour saint et ajoute une bonne action en l’honneur de Shabbat.

La matza est un symbole clé de la libération du peuple juif d’Égypte. Le peuple est sorti en hâte et le pain n’a pas eu le temps de lever. C’est une mitzva centrale pour chacun pendant Pessa'h. "Ils mangeront la viande cette nuit-là… avec des pains sans levain." (Shemot 12:8)

La Bar Mitsva marque le moment où un garçon de 13 ans devient mature spirituellement, responsable de ses actes et tenu aux mitsvot. C’est un moment très important dans la vie d’un homme juif. Une cérémonie ou fête en l’honneur du Bar Mitsva motive beaucoup le jeune garçon et renforce l’amour du public pour Hashem et la Torah.

Apporter de la joie aux mariés lors de leur mariage est une grande mitsva qui célèbre l’amour, rend heureux le couple et nous unit en tant que peuple.

Être présent aux funérailles apporte du réconfort à la famille et exprime la solidarité dans les moments les plus difficiles.

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